Dans son dernier numéro, pour sa rubrique « Secrets des salons qui marchent » Pratique des Arts consacre 2 pages au Marché d’Art de La Perrière ! Une jolie vitrine pour notre événement !
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Entre figuration et abstraction, mon propos est de traduire une ambiance, un climat, l’essence d’un sujet, ce dernier étant seulement prétexte à la création. J’aime à ce que tout ne soit pas saisit au premier regard, je cherche à susciter le doute sur ce qui existe réellement , cela rendant le tableau vivant. Je construis lentement, couche après couche. Les champs de couleurme permettent de créer un foisonnement complexe, un assemblage de nuances subtiles, le sujet sous-jacent se dilue .
Dans mon travail, je cherche à ouvrir un dialogue entre la toile et l’acte de peindre; c’est un échange entre ce qui se révèle pendant que je peins et mes réponses devant ce qui se manifeste.
Si la peinture me dicte la marche à suivre, il faut parfois la laisser aller pour mieux la contrôler.
Prendre son temps, maitriser et s’abandonner…
Pour en savoir plus :www.evagohier.odexpo.com
www.kazoart.com/artiste-contemporain/284-eva-gohier
Son parcours
Vit et travaille en Essonne.
Née à Paris, en 1964, dans un milieu ouvrier, rien ne prédestinait Catherine à devenir
Sculpteur. Initiée à l’Art en 1997, sa vie en a été, à jamais bouleversée.
En 2001 (jusqu’en 2005) elle acquiert au sein de l’atelier Paul Flury (Montreuil) les techniquesde base de la sculpture sur métal et sur bois.
En Août 2004, elle quitte son poste de Directeur de Projets informatiques pour se consacrer en parallèle, à la création artistique et au métier de Coach en évolution professionnelle. Depuis 2007, elle se consacre totalement à son activité de sculpteur et d’intervenant en Arts Plastiques.
Son travail
Récupération et détournement, humour et poésie, c’est ce qui caractérise son travail, utilisant pour l’essentiel des objets en métal, qu’elle assemble par soudure et qu’elle associe parfois à du bois flotté.
Ce sont toujours les objets qui décident. Une forme, une couleur vont l’attirer et l’assemblage se construit autour. Elle laisse alors l’enfant joyeux qui est en elle librement s’exprimer. Une galerie de personnages, d’animaux ou d’histoires qui, elle l’espère, étonnent et amusent ceux qui les regardent. Un peu de tendresse dans ce monde de brutes.
Plus d’infos sur FB : pezaire
D’acier, de bois et de pneus usagés, mes sculptures s’inscrivent dans une démarche de recyclage artistique et invitent à s’interroger sur nos modes de production et de consommation, sur les rapports de l’homme à « sa » nature. En prenant ce qui nous manque le plus, le temps, je tente de faire de ces déchets surabondants et ô combien symboliques du système productiviste auquel nous nous abandonnons, de nouveaux biens précieux que l’on se transmettrait durablement.
Si le haïku existait en peinture, ce petit poème bref comme un éclair, visant à dire et célébrer l’évanescence des choses, qualifierait la démarche artistique de Lydia STECIUK.
Un sentiment, une préoccupation, une rencontre et l’idée de l’œuvre se forge à partir de matériaux, d’éléments choisis pour leurs qualités sémiologiques propres.
Par séries, à chaque fois différentes, elle crée des pièces, des tableaux, des installations parfois où les titres évoquent une constante récurrente, celle de l’être au monde, le corps dans son rapport aux choses, aux environnements qu’il soient physiques, culturels ou imaginaires.
Dans la série « Forget me not » elle part d’une couleur envahissante, le bleu myosotis qui la questionne et la plonge dans des souvenirs d’enfance où la cabane, montée de tissus bleus formaient support à la rêverie. Clin d’œil au siège du psychanalyste, les tableaux colorés inspirés de David Hockney, présentent des formes éparses, parfois absurdes, ne prenant sens que dans des associations d’idées et de couleurs.
Photographie de rue, de bord de mer.
Photographie argentique de Bretagne et d’ailleurs. Le bord de mer pour le vent et les nuages, les soleils d’hiver, le ressac, les enfants et les chiens de mer.
Photographies argentiques en N&B pour souligner les aspects graphiques du réel, en privilégiant les constructions de la main de l’homme sur le littoral, quais, jetées, brise-lames, escaliers… y chercher des lignes, assembler et dissocier les éléments et les espaces dans le viseur, une façon de rechercher (une quête sans fin…) un nombre d’or.
Et puis attendre. Infiniment attendre que les vivants passent dans le champ. Que les enfants intrépides se jettent de la digue, que les couples errent sur le quai ou que les chiens prennent la pose devant l’horizon.
Plus d’infos : http://www.deng.fr
« Métaphores de vie. Du cycle de la vie au vivant monocellulaire, la recherche plus intérieure de l’artiste inspirée de nature végétale et animale, ne cesse de se déployer. Derrière la dextérité de l’aiguille se pressent une lecture plus métaphorique du monde, qui situe l’Homme au sein de l’univers, en miroir de la nature. Par la contemplation et l’observation du microcosme de la nature, Marjolaine Salvador-Morel saisit le battement et les pulsations du monde. »
Dominique Dendraël, Conservatrice du Musée du Hiéron
« Avec la technique de la dentelle à l’aiguille aux vides incontournables et constructeurs, Marjolaine Salvador-Morel aborde une singulière expression qui s’échappe de la paume de la main pour se modeler dans l’espace et devenir sculpture. »
Yves Sabourin, Inspecteur de la création artistique au Ministère de la Culture
Au commencement depuis la nuit des temps, les doigts ont toujours trituré, massé, creusé, torsadé, roulé, noué de la matière, gestes répétitifs, inconscients ou volontaires, appris et maîtrisés par nécessité ou par plaisir.
Costumière d’un jour pour une création théâtrale d’une pièce burlesque, j’ai poussé mes limites de la couture et du tissage vers la laine feutrée, cette matière textile intrigante.
Avec sa chaleur, sa sensualité, sa souplesse, sa douceur, elle me permet de m’exprimer, de jouer, de faire naître des créations poétiques, organiques. L’œuvre finie n’est pas pour autant réussie mais c’est le regard d’autrui qui lui donne la vie !
Après quelques années dans le stylisme et le dessin textile, Isabelle Hervé se consacre entièrement à la peinture.
Une peinture figurative contemporaine, son travail choisit le genre humain comme sujet de prédilection, le met en scène avec son volume, sa lumière, ses attitudes et ses relations aux autres.
Là où les personnages prenaient toute la place dans le cadre du tableau, désormais, sur des toiles recouvertes de papier journal ou cartes routières déchirées, puis aplats colorés, Isabelle Hervé dispose des instants de vie qui nous ressemblent.
Elle travaille dans son atelier du onzième arrondissement de Paris et expose dans différentes lieu du patrimoine et galeries en France (Château de Tours-Collégiale de Chartres-Hôtel de vente Drouot-Village Suisse-) et à l’étranger.
Techniques mixtes ou acrylique, peint, dessiné, collé, gratté, vue plongeante ou en panorama, ces partitions d’humanité disséminées sur l’espace de la toile, nous ouvrent un univers sensible, où le vide et le plein prennent tout leur sens.
Plus d’infos : http://www.isabelle–herve.fr