LAPS

Zoom sur un artiste qui exposera au Marché d’Art de La Perrière les 15 et 16 mai prochain. Pour commencer ce mardi, découvrons LAPS.
 
Laps, 46 ans, autodidacte.
« L’unique démarche que je puisse avoir c’est émouvoir »
C’est à l’âge de 12 ans que Laps prend conscience que la peinture est un moyen d’expression unique, en prenant ses premiers cours de peinture.
Il réalise alors ses 10 premières toiles.
 
A 17 ans, il s’essaie à l’huile.
Ses professeurs le remarquent mais c’est une autre voie que Laps choisit, ce qui le fera parler de « grand vide artistique » pendant la première partie de son existence.
Une séparation en 2006, le pousse à reprendre « les armes » et à réaliser un autoportrait et un nu.
Ce n’est pourtant qu’en 2010 qu’il se met enfin à dessiner, poussé par un besoin irrépressible et incontrôlable.
En 2012, il découvre par hasard l’encre de chine. Il entame alors une étude personnelle sur le résultat de l’encre et de l’eau sur le papier avec toutes les déclinaisons possibles (différents papiers, temps de séchage etc…)
Il découvre et met au point un procédé qui donne des effets surprenant : l’enlèvement de matière (encre) avec jet d’eau
Il pratique alors toutes sortes de réalisations avec des outils variés : chiffon, coton, cartons, doigt etc.
La machine est en route, et le dessin occupe pratiquement la totalité de son temps de libre.
L’arbre est très présent dans mes dessins à l’encre de chine.
 
En juin 2014, Laps découvre le pastel à l’huile par hasard. Une matière onctueuse et particulière, sous forme de bâtonnets. C’est un déclencheur qui va enfin lui donner son style.
Il utilise le pastel (comme avec l’encre) en utilisant toutes sortes d’outils ou de procédés différents.
La facilité de réalisation l’amène à dessiner de plus en plus de portraits, au pastel voir même en mixant le pastel et l’encre, ce qui donne des résultats intéressants et uniques.
 
Laps peint la réalité tel qu’il l’a ressent, et exprime avant tout des émotions au travers de portraits, de paysages.
« J’ai le souci de l’harmonie dans mes dessins, qu’ils me touchent pour qu’ils puissent toucher les autres. J’aime la déformation de la réalité».
 
Plus d’infos : http://www.lapsart.com

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